Du casse l'on extrait des contes forts prospères
Où l'auteur grève un nom moche comme un magot.
Préparant le pipo, il singe ses compères,
Leurs textes primaires devenant son ragot.
Il emplit ses cageots d'un journal qu'il desserre
Dans des malles d'aurore jusqu'au lumbago.
Il puise des pages le texte nécessaire,
Créant le mystère nous cachant l'imago.
Gravant un glaviot qu'il pense fatuaire
"L'artiste" veut plaire d'un hommage cagot.
Raclant dans l'édifice, il se sent statuaire,
En brise la pierre, la vêt comme un fagot.
Dans son veule à-propos l'on sent l'air délétère
Que nul ne peut taire sans être démago.
De Monté Vidéo, le plagiat nous enterre
Rongé par d'anciens vers devenant farrago
A.V.H.
Désolé de ne pas être un très bon lecteur et de faire ça enrhumé, mais je tenais à laisser au moins un texte avec une possibilité d’écoute audio.
NB:
Ce poème tient de l’exagération des traits, il contient une part d’ironie, et, ne représente donc pas exactement mes idées ou pensées sur le sujet traité.